La négociation vient de se clore sur un projet d’accord 2020-2021-2022 que les négociateurs CFE-CGC jugent insatisfaisant.
Ce sont les adhérents qui vont définir le positionnement de la CFE-CGC
Réponse fin août !
BONNES VACANCES ESTIVALES
La négociation vient de se clore sur un projet d’accord 2020-2021-2022 que les négociateurs CFE-CGC jugent insatisfaisant.
Ce sont les adhérents qui vont définir le positionnement de la CFE-CGC
Réponse fin août !
BONNES VACANCES ESTIVALES
Vous avez été près de 550 à répondre au sondage « retour d’expérience sur le télétravail durant la période Covid-19 » lancé par la CFE-CGC
Près de 550 salariés de toutes catégories socioprofessionnelles ont volontairement répondu au sondage CFE-CGC !
Ce succès prouve que ce sujet est devenu majeur. Vos retours vont nous permettre de faire des propositions concrètes, qui iront au-delà du simple stock d’ordinateurs portables à augmenter ou de l’amélioration de la qualité des connexions nomades ! ! !
Le sondage CFE-CGC conduit à des pistes de progrès d’une toute autre portée …
L’ENGAGEMENT DE LA CFE-CGC
➔ Nous vous restituerons les résultats de ce sondage à la rentrée et porterons vos attentes auprès de la Direction.
Vos retours sont riches d’enseignements et pertinents, en termes de :
POURQUOI LE TELETRAVAIL EST-IL EN QUESTIONS ?
La période que nous venons de traverser a modifié certaines pratiques de travail : nous nous sommes adaptés bon gré mal gré à cette nouvelle donne.
Cette organisation du temps de travail était jusqu’ici marginale ; la crise sanitaire a promu le télétravail au rang d’outil éprouvé.
Ainsi certains managers, voire certains télétravailleurs, qui avaient un a priori négatif ou incapacitant ont pu voir que « oui c’est possible » !
Pour autant, le moment était venu de faire un retour d’expérience concret, au plus près des salariés, la CFE-CGC l’a fait !
La CFE-CGC a agi et vous avez massivement répondu à notre sondage. C’est une première réussie !
PETITE INFORMATION UTILE…
Le télétravail « de circonstance » a été initié lors de la crise COVID-19 dans le cadre d’un dispositif d’urgence et en dehors des accords télétravail (télétravail régulier) et QVT (télétravail occasionnel).
ATTENTION : la Direction souhaiterait un retour « à la normale » dès la rentrée de septembre.
➔ Nous ne pouvons donc que vous inciter à vous rapprocher de vos hiérarchies en anticipation, si vous souhaitez continuer ou commencer à exercer une partie de votre activité en télétravail (de manière officielle).
La CFE-CGC vous rappelle que vous pouvez mutualiser les deux dispositifs contractuels suivants, à savoir :
ET
MERCI À TOUTES ET À TOUS POUR VOS RÉPONSES
BONNES VACANCES ESTIVALES
LA CFE-CGC VOUS RENDRA COMPTE A LA RENTRÉE DE CE RETOUR D’EXPÉRIENCE DONT VOUS ÊTES LES ACTEURS
À l’issue de la conférence sociale du 17 juillet en présence des partenaires sociaux, le gouvernement a fixé les priorités et le calendrier, avec notamment le report des réformes des retraites et de l’assurance chômage.
Une semaine après avoir reçu, sous forme de réunions bilatérales, les organisations syndicales et patronales (retrouvez ICI le compte-rendu de l’entrevue entre Jean Castex et François Hommeril, président de la CFE-CGC, cliquez sur l’image), le Premier ministre a réuni, le 17 juillet, les partenaires sociaux à l’occasion d’une conférence du dialogue social.
Dans un contexte de crise économique (multiplication des plans sociaux en entreprise, hausse de la dette de l’Unedic…), plusieurs annonces ont été faites quant aux prochaines priorités d’un agenda social qui s’annonce très chargé à la rentrée.
DÉCALAGE DE LA RÉFORME DE L’ASSURANCE CHÔMAGE
Le Premier ministre a annoncé que la date d’entrée en vigueur de la réforme très controversée de l’assurance chômage(dégressivité des allocations des cadres à laquelle s’oppose fermement la CFE-CGC, nouveau calcul des indemnités, bonus-malus, durcissement de l’ouverture de droits et leur rechargement…), dont un premier volet était entré en vigueur en novembre 2019 et un second était attendu au 1er septembre prochain, est repoussée dans son intégralité à début 2021. D’ici là, une nouvelle concertation doit se tenir avec les partenaires sociaux.
RÉFORME DES RETRAITES : UNE NOUVELLE CONCERTATION
Concernant la réforme gouvernementale des retraites devant instaurer un système universel par points, suspendue en mars dernier sous l’effet de la crise sanitaire, Jean Castex a annoncé que les concertations avec les partenaires sociaux sont repoussées « au moins jusqu’à la fin de l’année ». Le Premier ministre a toutefois indiqué que la réforme serait « maintenue », tout en promettant « une nouvelle méthode » en distinguant notamment le « caractère structurel » et le volet financier. À cet effet, l’exécutif va de nouveau saisir le Conseil d’orientation des retraites (COR), afin d’évaluer la situation financière des comptes sociaux.
EMPLOI DES JEUNES
Le ministère du Travail a indiqué que des concertations se tiendront dès cette semaine avec les partenaires sociaux sur l’emploi des jeunes, dont 700 000 sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.
Objectif : fixer en particulier les modalités de la réduction annoncée du coût du travail de 4.000 euros par an (prime ou exonération de cotisations), un dispositif qui doit concerner chaque jeune de moins de 25 ans employé par une entreprise.
RESTRUCTURATION DES BRANCHES, PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTÉE, TRAVAILLEURS DES PLATEFORMES…
Outre les gros dossiers précités, le gouvernement a listé d’autres sujets qui vont faire l’objet de discussions avec les partenaires sociaux ces prochains mois.
Au menu notamment : la restructuration des branches professionnelles, le partage de la valeur ajoutée (incluant l’épargne salariale, l’actionnariat salarié, la participation des salariés à la gouvernance de l’entreprise et la rémunération) mais également le télétravail, le travail détaché, les travailleurs des plateformes, les métiers en tension et les travailleurs dits « de deuxième ligne ».
Récemment, une notification précisant votre statut pour les semaines 12, 13 et 14 vous a été adressée par votre hiérarchie. Le but est de vérifier cet état pour faire si besoin un état contradictoire.
Avant la publication de l’ordonnance du 22 avril 2020 :
Ainsi pour la période concernée (16 mars au 21 avril inclus) :
Si une unité de travail (service, établissement, atelier, projet, etc…) à majoritairement non travaillé, le motif d’activité partielle l’emporte sur tous les autres statuts (dont l’arrêt maladie pour garde d’enfants).
Certains d’entres vous ont été placés en télétravail sur cette même période, par la hiérarchie (avec mail l’attestant) et se sont vus placés en activité partielle sur ces jours travaillés, au motif identique (cf. ci-dessus).
Après investigations, nous avons eu confirmation de la part de la direction que :
doivent signaler au plus vite cette incohérence à la hiérarchie concernée. Cette dernière se chargera de la remonter aux RH qui examineront les situations au cas par cas.
N’hésitez pas à contacter vos représentants CFE-CGC.
Le télétravail, ce « nouveau » mode de travail, a pu montrer sa puissance en terme de résilience dans la gestion de la situation sanitaire COVID-19.
Que vous ayez été on non en télétravail durant le confinement, prenez 3 minutes pour répondre à notre sondage !
Nous clôturerons ce sondage aujourd’hui, vendredi 17 juillet à 17h.
Deux points durs pour la CFE-CGC :
La Direction ne veut pas diminuer ce seuil en-deçà d’un Résultat Opérationnel (RO) inférieur à 9% du Chiffre d’Affaires.
Ce 9% est la rentabilité que l’on est en droit d’attendre d’une entreprise de notre secteur d’activités. La rentabilité ce ne sont pas seulement des dividendes qui remontent aux actionnaires ; c’est aussi plus d’investissement humain et matériel, plus de R&T autofinancée, …
Sauf que ce 9% n’a aucune chance d’être atteint cette année. Nous le savons tous et la Direction le confirme. Quant aux deux années suivantes « c’est pas gagné ».
La CFE-CGC et les organisations syndicales ont proposé de diminuer ce seuil de déclenchement en-deçà des 9%. Refus de la Direction.
⇒ la CFE-CGC n’engagera pas sa signature dans un accord dont le critère de déclenchement ne sera pas atteint la 1ère année !
Il s’agit d’objectifs tels que « livrer tel produit, telle étude, … » ; plus ils sont atteints et plus l’intéressement est élevé. C’est le fondement même du dispositif d’intéressement.
Sauf que … la Direction propose de définir ces objectifs, aujourd’hui dans l’accord, pour 2020-2021-2022 ! Qui peut dire aujourd’hui avec certitude quel sera notre plan de charge précis d’ici deux ans ? Personne !
⇒ La CFE-CGC demande que ces objectifs puissent évoluer au regard des circonstances du moment (changement d’organisation industrielle, modification de la demande client, …).
CETTE NÉGOCIATION SE PRÉSENTE MAL
NOUS AVONS JUSQU’À FIN AOÛT POUR NÉGOCIER (COVID-19)
PROFITONS DE CE DÉLAI SUPPLÉMENTAIRE POUR NÉGOCIER UN ACCORD D’INTÉRESSEMENT QUI SOIT … INTÉRESSANT !
La Direction a voulu utiliser l’alibi de cette pandémie mondiale pour nous faire cautionner un accord qui mettait en place une « politique salariale » égale à zéro.
La CFE-CGC a agi avec les autres organisations syndicales pour que cette crise ne soit pas le prétexte d’un gel généralisé des salaires. Dans cet esprit, nous avons obtenu que, à titre exceptionnel et compte-tenu des circonstances, tous les salariés, cadres comme mensuels, bénéficient du même % de revalorisation de leur salaire : 1%.
En effet, la faiblesse de cette politique salariale aurait eu pour conséquence un budget d’Augmentations Individuelles beaucoup trop faible pour ne pas générer de forts mécontentements.
Ce % identique pour tous permet de revaloriser les salaires, certes modestement, de tous les salariés. Il évite aux plus jeunes d’entre eux de subir les conséquences d’une absence de revalorisation pour le reste de leur carrière.
Parce que la CFE-CGC promeut la reconnaissance des compétences et de l’investissement de chacun, nous avons obtenu le maintien du budget habituellement affecté aux promotions : 0,2%
Les adhérents CFE-CGC ont validé cet accord après en avoir débattu.
La CFE-CGC, premier syndicat d’ArianeGroup SAS, met tout son poids à la signature (38%) pour permettre aux salariés de bénéficier d’une politique salariale en 2020.