Politique Salariale 2022

3,3% !

en rouge les nouveautés comparées à la dernière séance.

MENSUELS :

  • 2,0 % en AG, (plancher à 55€)
  • 1,1 % en AI,
  • spécifique 0,2% : évolution prime d’ancienneté, AG mini 55€, égalité professionnelle
  • mesures en juillet 2022 avec rétroactivité réelle en janvier

CADRES :

  • 2,0 % en AG, (pas de plancher)
  • 1,1 % en AI, (mini 100€ AG+AI pour les salariés de moins de 30 ans)
  • spécifique 0,2% : rattrapage des minis, mesures de rétention des talents, passage cadre
  • mesures en juillet 2022 avec rétroactivité réelle en janvier

***

Revalorisation des primes (primes idem années précédentes) de 3%.

Revalorisation des indemnités kilométrique de 3%.

***

Pour la CFE-CGC, il faut :

  • sortir les budgets spécifiques du calcul du budget total tout en maintenant les mesures (elles s’imposent d’elles-mêmes !)
  • augmenter le budget des AI

LA DIRECTION EST EN TRAIN DE FAIRE PASSER LES SALARIÉS D’UNE FORTE ATTENTE À DE LA COLÈRE.

Prochaine réunion le jeudi 7 avril 2022

La CFE-CGC agit pour que la Direction entende les attentes des salariés avant qu’elles ne deviennent de la colère…

Politique Salariale : privilégions les clés de la réussite plutôt que le résultat économique en fin d’année !

La négociation de la politique salariale se poursuit avec notamment
une prochaine réunion mercredi 30 mars ; gageons que ce ne sera pas la dernière

Toutes les organisations syndicales partagent le même constat : nous sommes loin d’une proposition acceptable.

La CFE-CGC le dit depuis des mois

  • Renforçons les équipes là où c’est nécessaire,
     
  • Redonnons à tous les salariés un nouveau souffle et une nouvelle envie de se battre via une politique salariale reconnaissante et motivante.

La logique financière porte en elle des effets dévastateurs : obsession à prioriser l’optimisation des bénéficesconduisant à une sous-évaluation des risques et à une destruction de capital humain. Cela se conjugue aujourd’hui à des effets retards inhérents à tout développement de cette ampleur (A6) … et malheureusement sans véritable plan de sécurisation.

⇒ Nous pensons que l’ambition d’ArianeGroup doit être de réussir le premier vol Ariane 6 dans les délais impartis, pas de risquer de rater ce challenge pour la seule satisfaction d’avoir des comptes équilibrés !

CONVERGENCE DES ANALYSTES :

« La situation actuelle (retard d’Ariane 6 vol 1 de plus de 2 ans) tient ses racines notamment dans /1/ une trop grande confiance dans le développement d’Ariane 6 (dont la fin prématurée d’Ariane 5), /2/ le fait que lancer Soyuz était économiquement plus intéressant qu’Ariane 5, ainsi que /3/ trop d’optimisme managérial et /4/ une vision de l’entreprise principalement financière et pas assez stratégique. »

⇒ On a l’impression d’assister à une étude de cas dans un cours d’introduction aux risques psychosociaux. D’autant plus regrettable que derrière ce gâchis se joue la santé des salariés (30% d’entre eux sont en situation d’hyperstress), l’indépendance de l’Europe pour son accès à l’espace et … nos emplois !

Redonner aux salariés les moyens des ambitions d’ArianeGroup

LA CFE-CGC L’AFFIRME :

Au lieu de faire le focus sur des indicateurs* parfois hors sol et qui fatiguent les salariés, la Direction d’ArianeGroup doit prendre la mesure de la situation qu’ils subissent depuis plusieurs années.

Elle ne peut pas se permettre d’ajouter un nouveau motif de mécontentement avec une politique salariale socialement inacceptable.

* : indicateurs = « KPI » en langage Direction

⇒ Il serait dramatique pour le climat social, et catastrophique pour les programmes qui ont été confiés à ArianeGroup (Ariane 6, activités balistique & hypersonique …), que la Direction réduise la politique salariale 2022 à une équation financière.

⇒ De même, il faut arrêter d’épuiser les équipes dans un reporting financier permanent et arrêter de changer les organisations (POM, Agile, Shift, …).

A quoi bon avoir des comptes à l’équilibre si sa contrepartie se révèle mortifère ?

  • Echec d’Ariane 6,
  • Perte de la confiance de nos clients civil et militaire, 
  • Diminution du Carnet de Commande,
  • Démissions en cascade,
  • Multiplication des risques psychosociaux,

PRIVILÉGIONS LA MOTIVATION DES SALARIÉS PLUTȎT QUE LE RÉSULTAT ÉCONOMIQUE !

A l’heure où l’indépendance européenne d’accès à l’espace est suspendue à la mise en service d’Ariane 6 et où l’actualité nous rappelle l’importance stratégique de nos activités de Défense, la Direction porterait une sacrée responsabilité si elle n’écoutait pas les représentants des salariés tous syndicats confondus.

Car à un moment donné il sera trop tard et le social emportera comme toujours tout sur son passage, quelles que soient les priorités accordées à nos activités. La CFE-CGC ne le souhaite pas.

Petits commentaires pour relativiser l’impact des revendications salariales :

  • 1% de masse salariale supplémentaire c’est +4M€ de masse salariale hors cotisations sociales ; c’est aussi moins de 0,2% du Chiffre d’Affaires de la société …
  • La Direction a provisionné plusieurs dizaines de M€ pour mettre en œuvre sa RCC, elle doit pouvoir mettre sur la table quelques M€ pour « penser à ceux qui restent » !

A bon entendeur …

La crise actuelle nous rappelle que l’indépendance (stratégique, énergétique, militaire, médicale, …) est un facteur d’une importance capitale. Aussi la prise de conscience doit être totale : l’indépendance a un coût !

La France, puissance stratégique possédant l’arme de dissuasion nucléaire, qui a un coût pour le contribuable, est de fait entendue dans un monde globalisé, malgré sa taille et sa population qui, au regard d’autres nations, fait figure de « petit pays ».

Il en va de même pour l’accès indépendant à l’espace : il a un coût, tout le monde n’a pas cette capacité et, même dans un monde qui change on ne s’improvise pas leader du spatial. D’ailleurs SpaceX a réussi en cassant les codes mais pas sans moyens car la NASA paie très cher ses services.

⇒ La CFE-CGC l’affirme : Ariane 6 doit être une réussite et, même si la raison doit l’emporter, les moyens doivent être mis sur la table pour que les salariés puissent travailler sereinement et faire de ce programme une fierté nationale et Européenne !

QUE LA DIRECTION NE S’Y TROMPE PAS :

Ce ne sont pas les quelques millions d’€ mis en plus pour motiver les salariés qui mettront l’entreprise en péril mais bien un éventuel échec du programme Ariane 6

À bon entendeur…

PRIVILÉGIONS LA MOTIVATION DES SALARIÉS PLUTȎT QUE LE RÉSULTAT ÉCONOMIQUE

Politique Salariale : un saut de puce !

Hier se tenait la deuxième réunion de négociation de la politique salariale 2022
durant laquelle la Direction a fait sa nouvelle proposition :
3,1%, (mensuels ET cadres : AG 2,0% + AI 1,1%) contre 2,8% deux semaines auparavant …

Une nouvelle séance de négociation est prévue le mercredi 30 mars

La CFE-CGC rappelle sa position : LE COMPTE N’Y EST PAS !

Nous sommes loin d’une proposition socialement acceptable

La CFE-CGC attend que la Direction fasse par la voie du dialogue social une proposition acceptable tant en terme de niveau global (%) que de répartition AG/AI pour tous les salariés cadres et mensuels.

Nous souhaitons donner sa chance à la Direction, elle doit être capable d’entendre les représentants du corps social et d’arriver à une proposition acceptable par la négociation.

Il est important pour la CFE-CGC d’éviter des conflits, qui donnent une mauvaise image de l’entreprise, tant en interne concernant la qualité du dialogue social qu’à l’externe vers nos clients et partenaires.

C’est notre méthode de travail, pas de grève préventive. Pour autant, le moment venu, la CFE-CGC donnera son appréciation de la « dernière » proposition Direction et n’hésitera pas à solliciter le soutien des salariés.

La CFE-CGC confirme le rôle du dialogue social pour négocier les accords.

Mais la Direction ne doit pas douter de notre détermination à obtenir les conditions préalables ci-dessous, et un niveau de politique salariale permettant de reconnaitre l’investissement des salariés et de garantir le pouvoir d’achat

Il ne faudrait pas que la Direction passe à côté des attentes des salariés, d’autant plus qu’ils n’ont pas à payer les errements dont nos dirigeants ont fait preuve ces dernières années.

Rappel succinct des revendications préalables CFE-CGC

1 : RATTRAPAGE GÉNÉRALISÉ pour tous les salariés

⇒ Tous les salariés doivent bénéficier d’une revalorisation de leur salaire en 2022 pour tenir compte de l’envolée de l’inflation

2 : CLAUSE DE SAUVEGARDE AUTOMATIQUE ET ENGAGEANTE à l’automne 2022

La Banque de France prévoit une d’inflation 2022 de 3,7% à 4,4% « sous réserve des incertitudes consécutives à la guerre en Ukraine ». Qui peut dire ce qu’elle sera dans 6 mois ?

⇒ La CFE-CGC revendique cette clause de sauvegarde pour garantir aux salariés que l’inflation ne leur fera pas perdre du pouvoir d’achat

3 : GARANTIE PLURIANNUELLE D’AUGMENTATION des salariés (GPA)

2019 : 15% des cadres et 24% des mensuels n’ont pas eu d’Augmentation Individuelle

2021 : 26% des cadres et 36% des mensuels n’ont pas eu d’Augmentation Individuelle

⇒ La CFE-CGC demande la réactivation de cette GPA.

4 : REVALORISER LES MINI CADRES au-delà du mini Métallurgie

⇒ Il s’agit de récréer le décollement perdu ces dernières années, car lorsque les salariés sont recrutés avec un salaire trop faible, alors ils en paient le prix durant des années, et les « budgets jeunes » sont toujours au détriment des autres salariés.

5 : ATTENUÉR L’ENVOLÉE DES PRIX DE L’ÉNERGIE

Est-il nécessaire de rappeler que les prix de l’énergie (carburants, gaz, électricité) s’envolent, et ce durablement ?

⇒ Plusieurs dispositifs sont possibles, cumulables ou non : revalorisation significative de la prime Energie dans les établissements où elle existe et mise en place de cette prime dans les autres établissements ; nouvelle Prime Energie applicable à tous les salariés de tous les établissements ; revalorisation significative des indemnités kilométriques ; ….

Tous les dispositifs seront bons à prendre dès l’instant où ils atténueront significativement, pour tous les salariés, l’envolée des prix de l’énergie qu’ils subissent.

La Direction s’est félicitée en début d’année du
« retour d’un dialogue social constructif au sein de la société » ; Dont acte.

Mais il ne faut pas qu’elle se méprenne : un dialogue social constructif est possible
lorsque le résultat d’une négociation est acceptable pour les deux parties qui négocient.

Si la Direction souhaite poursuivre un dialogue constructif,
elle doit démontrer par les actes qu’elle s’en donne les moyens !

Politique Salariale 2022 : la Direction progresse à…

3,1% !

MENSUELS :

  • 2,0 % en AG,
  • 1,1 % en AI,
  • passage en paie de juillet 2022
  • un mécanisme, à définir, pour mettre en place la rétroactivité couvrant la période janvier 2022 – juin 2022

CADRES :

  • 2,0 % en AG,
  • 1,1 % en AI,
  • passage en paie de juillet 2022
  • un mécanisme, à définir, pour mettre en place la rétroactivité couvrant la période janvier 2022 – juin 2022

***

La Direction propose de faire évoluer les primes (astreinte, panier…) au 1er juillet 2022 de 2%.

Cette nouvelle proposition est insuffisante notamment au regard de la revalorisation des appointements minimaux ingénieurs et cadres de la branche à hauteur de 3,1% !

La CFE-CGC attend de la part de la Direction une proposition plus engageante et motivante auprès des salariés. Car ne l’oublions pas, la Direction aura besoin de salariés motivés et engagés pour tenir les challenges à venir.

La Direction a une semaine pour revoir sa copie !

Prochaine séance le mercredi 30 mars.

 

Politique Salariale : la conclusion dépend de la Direction

La négociation de politique salariale 2022 s’est ouverte jeudi 10 mars ; prochaine séance le 24 mars

La CFE-CGC est intervenue pour indiquer que, avant de parler du niveau (%), nous émettons des conditions préalables :

1 : Obtenir un Rattrapage Généralisé pour tous les salariés

L’été dernier, la CFE-CGC a signé une politique salariale à 1,9% tandis que l’inflation était, à ce moment-là, à 1,5%. On connait la suite : 2,8% en décembre.

⇒ Pour la CFE-CGC tous les salariés doivent bénéficier d’une revalorisation de leur salaire en 2022 pour tenir compte de cette situation

2 : Obtenir une Clause de sauvegarde automatique et engageante à l’automne 2022

La Banque de France vient d’émettre une prévision d’inflation 2022 de 3,7% à 4,4% « sous réserve des incertitudes consécutives à la guerre en Ukraine ».

L’inflation s’annonce forte et durable. Qui peut dire ce qu’elle sera dans 6 mois ? Personne !

⇒ La CFE-CGC revendique cette clause de sauvegarde pour garantir aux salariés que l’inflation ne leur fera pas perdre du pouvoir d’achat (d’autant plus que, contrairement à de nombreuses entreprises du secteur aéronautique, dont Airbus et Safran, nous n’avons ni intéressement ni participation).

3 : Réactiver la Garantie Pluriannuelle d’Augmentation des salariés (GPA)

2019 : 15% des cadres et 24% des mensuels n’ont pas eu d’Augmentation Individuelle

2021 : 26% des cadres et 36% des mensuels n’ont pas eu d’Augmentation Individuelle

⇒ La CFE-CGC demande la réactivation de cette GPA.

Son niveau devra tenir compte de ce que les salariés ont perçu en 2019 et 2021 (nous proposons de ne pas retenir 2020 puisqu’il n’y avait que des Augmentations Générales cette année-là).

4 : Revaloriser les minimum cadres au-delà du mini Métallurgie

Une société comme la nôtre ne peut pas être alignée sur « le minimum syndical ». Nous devons avoir une grille de salaires incitative. Il faut donc récréer le décollement perdu ces dernières années ⇒ la CFE-CGC agit pour que les salaires d’embauche soient revalorisés. Les années précédentes montrent que, si les mini mensuels sont revalorisés à hauteur des politiques salariales, ceux des cadres ne le sont pas.

Conséquence : lorsque les salariés sont recrutés avec un salaire trop faible, alors ils en paient le prix durant des années, et les « budgets jeunes » sont toujours au détriment des autres salariés

5 : Revaloriser les Indemnités Kilométriques

Est-il nécessaire de rappeler qu’il s’agit de tenir compte de l’envolée du prix de l’énergie ?

D’autant plus que, bien qu’étant différentes selon le statut des salariés (exHKS, exADS, Vernon), ces indemnités n’ont pas été revalorisées depuis plusieurs années

Si nous pouvions les harmoniser cela serait un plus !

Les salariés sont affectés par l’envolée des coûts de transport ⇒ la CFE-CGC revendique une revalorisation significative des indemnités kilométriques.

La question du %, de sa répartition entre AG et AI, et du talon d’AG

Une fois que ces conditions préalables auront été acquises, alors seulement la CFE-CGC pourra aborder la question du niveau (%) et de sa répartition.

Petite remarque : la CFE-CGC est très étonnée que, contrairement à la proposition faite par Airbus Avions et Airbus Defence & Space dès leur 1ère réunion de politique salariale, ArianeGroup ne propose pas d’Augmentation Générale pour les cadres vu le contexte inflationniste actuel ; espérons que ce ne soit qu’une question de temps.

Un corps social dont les attentes n’ont jamais été aussi fortes

La Direction doit entendre ces attentes. Attentes d’autant plus fortes que :

  • 2021 s’est soldée par une perte de pouvoir d’achat
     
  • Pas d’Intéressement ni de Participation
     
  • Des enjeux civils (A6, grande constellation, …) comme défense (.3, .4, VMAX, …) comme jamais nous n’en avons eus, le tout sur fond de remise en cause de l’indépendance d’accès à l’espace

Il ne faudrait pas que la Direction passe à côté de ces attentes. Elle serait à l’origine d’un mécontentement social qui hypothèquerait certains jalons majeurs pour notre avenir. La CFE-CGC ne le souhaite pas.

La négociation vient à peine de démarrer, avec l’habituelle première proposition de la Direction et le tour de table des syndicats.

La CFE-CGC confirme le rôle du dialogue social pour négocier les accords.

Mais la Direction ne doit pas douter de notre détermination à obtenir les conditions préalables ci-dessus, et un niveau de politique salariale permettant de reconnaitre l’investissement des salariés et de garantir le pouvoir d’achat

 

LA DIRECTION A LES CLÉS DE LA CONCLUSION DE CETTE NÉGOCIATION, À ELLE DE BIEN LES CHOISIR

Politique Salariale 2022 : les premières propositions de la CFE-CGC !

Faisant suite à la première réunion de politique salariale 2022, la CFE-CGC a  réagi face à la proposition très en dessous des attentes et inacceptable au vu du niveau d’inflation !

Nous sommes très étonnés que, contrairement à la 1ère proposition faite par les Directions d’Airbus Avions et d’Airbus Defence & Space notamment, la Direction d’ArianeGroup ne propose pas d’Augmentation Générale pour les cadres, vu le contexte inflationniste actuel.

Avant de parler du niveau (%) la CFE-CGC émet des conditions préalables :

  • Rattrapage généralisé pour tous les salariés au regard du fait que l’inflation 2021 s’est envolée après la signature de l’accord en juillet
  • Clause de sauvegarde automatique et engageante à l’automne 2022
  • Garantie pluriannuelle d’augmentation des salariés
  • Revaloriser les mini cadres au-delà du mini Métallurgie, afin de recréer le matelas perdu
  • Revaloriser les indemnités kilométriques pour tenir compte de l’envolée du prix de l’énergie

Et, dans un second temps seulement, alors nous parlerons du niveau (%) et de sa répartition (AG, AI, …)

Politique Salariale 2022 : la Direction démarre à…

2,8% !

MENSUELS :

  • XX* % en AG,
  • XX* % en AI,
  • passage en paie de juillet 2022
  • un mécanisme, à définir, pour mettre en place la rétroactivité couvrant la période janvier 2022 – juin 2022

**la répartition AG/AI sera présentée lors de la prochaine séance.

CADRES :

  • 2,8% en AI,
  • passage en paie de juillet 2022
  • un mécanisme, à définir, pour mettre en place la rétroactivité couvrant la période janvier 2022 – juin 2022

Il va falloir faire mieux pour récompenser l’investissement des salariés.

La CFE-CGC a bien évidemment réagi face à cette proposition très en dessous des attentes et inacceptable au vu du niveau d’inflation !

 

Prochaine séance le 16 mars.