INTERESSEMENT : LA CFE-CGC NE SIGNE PAS !

En l’état actuel des choses, la CFE-CGC ne signe pas l’accord intéressement. L’accord est à la signature jusqu’au 31 août minuit.

Seule une ultime prise de conscience de la Direction, et révision de sa position, serait susceptible de nous faire revoir la nôtre. 

Lire la suite de notre communiqué ICI

Télétravail : Le sondage CFE-CGC est un franc succès !

Vous avez été près de 550 à répondre au sondage « retour d’expérience sur le télétravail durant la période Covid-19 » lancé par la CFE-CGC

Près de 550 salariés de toutes catégories socioprofessionnelles ont volontairement répondu au sondage CFE-CGC !
Ce succès prouve que ce sujet est devenu majeur. Vos retours vont nous permettre de faire des propositions concrètes, qui iront au-delà du simple stock d’ordinateurs portables à augmenter ou de l’amélioration de la qualité des connexions nomades ! ! !
Le sondage CFE-CGC conduit à des pistes de progrès d’une toute autre portée …

L’ENGAGEMENT DE LA CFE-CGC

➔ Nous vous restituerons les résultats de ce sondage à la rentrée et porterons vos attentes auprès de la Direction.

Vos retours sont riches d’enseignements et pertinents, en termes de :

    • densité et efficacité en télétravail,
    • flexibilité des jours télétravaillés,
    • relations avec les collègues,
    • environnement de travail à domicile,
    • disponibilité des outils à distance,

POURQUOI LE TELETRAVAIL EST-IL EN QUESTIONS ?

La période que nous venons de traverser a modifié certaines pratiques de travail : nous nous sommes adaptés bon gré mal gré à cette nouvelle donne.

Cette organisation du temps de travail était jusqu’ici marginale ; la crise sanitaire a promu le télétravail au rang d’outil éprouvé. 

Ainsi certains managers, voire certains télétravailleurs, qui avaient un a priori négatif ou incapacitant ont pu voir que « oui c’est possible » !

Pour autant, le moment était venu de faire un retour d’expérience concret, au plus près des salariés, la CFE-CGC l’a fait !

La CFE-CGC a agi et vous avez massivement répondu à notre sondage. C’est une première réussie !

PETITE INFORMATION UTILE…

Le télétravail « de circonstance » a été initié lors de la crise COVID-19 dans le cadre d’un dispositif d’urgence et en dehors des accords télétravail (télétravail régulier) et QVT (télétravail occasionnel).

ATTENTION : la Direction souhaiterait un retour « à la normale » dès la rentrée de septembre.

 Nous ne pouvons donc que vous inciter à vous rapprocher de vos hiérarchies en anticipation, si vous souhaitez continuer ou commencer à exercer une partie de votre activité en télétravail (de manière officielle).

La CFE-CGC vous rappelle que vous pouvez mutualiser les deux dispositifs contractuels suivants, à savoir :

  • Télétravail régulier couvert par l’accord de télétravail ArianeGroup (1 à 2 jours fixes par semaine et rédaction d’un avenant au contrat de travail pour un an), pour cela envoyez dés maintenant un mail à votre manager pour formaliser votre demande en précisant les jours souhaités. 

ET

  • Télétravail occasionnel couvert par l’accord QVT ArianeGroup (30 jours par an à positionner en accord avec la hiérarchie).

 

MERCI À TOUTES ET À TOUS POUR VOS RÉPONSES

BONNES VACANCES ESTIVALES

LA CFE-CGC VOUS RENDRA COMPTE A LA RENTRÉE DE CE RETOUR D’EXPÉRIENCE DONT VOUS ÊTES LES ACTEURS

Agenda social : report des réformes retraites et assurance chômage

À l’issue de la conférence sociale du 17 juillet en présence des partenaires sociaux, le gouvernement a fixé les priorités et le calendrier, avec notamment le report des réformes des retraites et de l’assurance chômage.

Une semaine après avoir reçu, sous forme de réunions bilatérales, les organisations syndicales et patronales (retrouvez ICI le compte-rendu de l’entrevue entre Jean Castex et François Hommeril, président de la CFE-CGC, cliquez sur l’image), le Premier ministre a réuni, le 17 juillet, les partenaires sociaux à l’occasion d’une conférence du dialogue social.

Dans un contexte de crise économique (multiplication des plans sociaux en entreprise, hausse de la dette de l’Unedic…), plusieurs annonces ont été faites quant aux prochaines priorités d’un agenda social qui s’annonce très chargé à la rentrée.

DÉCALAGE DE LA RÉFORME DE L’ASSURANCE CHÔMAGE

Le Premier ministre a annoncé que la date d’entrée en vigueur de la réforme très controversée de l’assurance chômage(dégressivité des allocations des cadres à laquelle s’oppose fermement la CFE-CGC, nouveau calcul des indemnités, bonus-malus, durcissement de l’ouverture de droits et leur rechargement…), dont un premier volet était entré en vigueur en novembre 2019 et un second était attendu au 1er septembre prochain, est repoussée dans son intégralité à début 2021. D’ici là, une nouvelle concertation doit se tenir avec les partenaires sociaux.

RÉFORME DES RETRAITES : UNE NOUVELLE CONCERTATION

Concernant la réforme gouvernementale des retraites devant instaurer un système universel par points, suspendue en mars dernier sous l’effet de la crise sanitaire, Jean Castex a annoncé que les concertations avec les partenaires sociaux sont repoussées « au moins jusqu’à la fin de l’année ». Le Premier ministre a toutefois indiqué que la réforme serait « maintenue », tout en promettant « une nouvelle méthode » en distinguant notamment le « caractère structurel » et le volet financier. À cet effet, l’exécutif va de nouveau saisir le Conseil d’orientation des retraites (COR), afin d’évaluer la situation financière des comptes sociaux.

EMPLOI DES JEUNES

Le ministère du Travail a indiqué que des concertations se tiendront dès cette semaine avec les partenaires sociaux sur l’emploi des jeunes, dont 700 000 sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.

Objectif : fixer en particulier les modalités de la réduction annoncée du coût du travail de 4.000 euros par an (prime ou exonération de cotisations), un dispositif qui doit concerner chaque jeune de moins de 25 ans employé par une entreprise.

RESTRUCTURATION DES BRANCHES, PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTÉE, TRAVAILLEURS DES PLATEFORMES…

Outre les gros dossiers précités, le gouvernement a listé d’autres sujets qui vont faire l’objet de discussions avec les partenaires sociaux ces prochains mois.

Au menu notamment : la restructuration des branches professionnelles, le partage de la valeur ajoutée (incluant l’épargne salariale, l’actionnariat salarié, la participation des salariés à la gouvernance de l’entreprise et la rémunération) mais également le télétravail, le travail détaché, les travailleurs des plateformes, les métiers en tension et les travailleurs dits « de deuxième ligne ».

Notifications « absences COVID » du mois de mars

Récemment, une notification précisant votre statut pour les semaines 12, 13 et 14 vous a été adressée par votre hiérarchie. Le but est de vérifier cet état pour faire si besoin un état contradictoire.

Avant la publication de l’ordonnance du 22 avril 2020 :

  • l’employeur ne pouvait placer en situation d’activité partielle que des collectifs de travail (service, établissement, atelier, projet, etc…).
  • au-delà de cette date, il est possible pour l’employeur de placer de façon individuelle en situation d’activité partielle une partie des salariés.

Ainsi pour la période concernée (16 mars au 21 avril inclus) :

Si une unité de travail (service, établissement, atelier, projet, etc…) à majoritairement non travailléle motif d’activité partielle l’emporte sur tous les autres statuts (dont l’arrêt maladie pour garde d’enfants).

Certains d’entres vous ont été placés en télétravail sur cette même période, par la hiérarchie (avec mail l’attestant) et se sont vus placés en activité partielle sur ces jours travaillés, au motif identique (cf. ci-dessus).

Après investigations, nous avons eu confirmation de la part de la direction que : 

  • les salariés ayant télétravaillé sur demande expresse de la hiérarchie, mais qui par la suite se seraient vu notifiés en Activité Partielle sur le mêmes jours sur leur relevé de situation, 

doivent signaler au plus vite cette incohérence à la  hiérarchie concernée. Cette dernière se chargera de la remonter aux RH qui examineront les situations au cas par cas.

N’hésitez pas à contacter vos représentants CFE-CGC.