« L’émergence de nouveaux entrants sur le marché des activités spatiales s’explique par des stratégies agressives, une capacité à décider plus rapidement, une prise de risques accrue et une “tolérance à l’échec” » (cliquez sur l’image)
2021 fut tout en contrastes avec par exemple la suppression de 125 postes de managers l’été dernier (réorganisation SHIFT),
la suppression de 527 postes de travail (plan de départs RCC)
mais aussi le succès éclatant du lancement parfait du télescope James Webb
2022 s’annonce avec des enjeux techniques et industriels majeurs tant dans sur la Défense que le Civil
Le tout sur fond (enfin ?!) de négociation d’un statut social commun, grand absent de ces dernières années et point faible d’ArianeGroup
Mercredi 19 janvier se tenait le 1er CSE Central de l’année, en voici l’essentiel :
POINT DE SITUATION SOCIÉTÉ
GRANDE CONSTELLATION
La confidentialité imposée notamment par le client ne nous permet pas d’être plus précis sur dossier qui évolue positivement. Vos représentants CFE-CGC sont disponibles pour échanger sur ce dossier aux enjeux majeurs pour ArianeGroup.
PROGRAMME 2022 DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ET D’AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL
Avis FAVORABLE du CSE-C émis à la majorité des élus
Après la restitution et conclusions des travaux de la CSSCT Centrale, voici la déclaration que la CFE-CGC a lue en séance :
⇒ La CFE-CGC donne un avis favorable au programme de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail qui nous est proposé pour 2022. Ce programme, comme toujours, est un compromis porté par les équipes HSE : entre d’une part ce qui est souhaitable au regard de la santé et la sécurité des salariés, et d’autre part ce qui est possible au regard des ressources et des compétences disponibles tant au niveau Corporate qu’Etablissements. Au final ce compromis reçoit notre approbation car il ne négocie pas les conditions permettant de prévenir les risques professionnels, et accentue l’action de l’entreprise sur la diminution de l’accidentologie.
Concernant les Risques Psychosociaux (RPS), l’accord de prévention des RPS que la CFE-CGC a signé en mars 2020 est de bonne facture, similaire à ceux par exemple de nos maisons-mères. L’enjeu aujourd’hui n’est pas de remettre ce dossier sur la table des négociateurs mais d’appliquer cet accord tant à la lettre qu’à l’esprit et ce dans tous les secteurs et à tous les niveaux de l’entreprise. Dans ce contexte où nous disposons d’un outil fiable, validé par la communauté scientifique et opérationnel, la CFE-CGC constate et apprécie que deux des cinq axes du programme de prévention 2022 soient dans la continuité concrète de cet accord de prévention des risques psychosociaux.
Ceci étant, et la CFE-CGC est très claire sur ce point, nous déplorons l’indigence des services médicaux des trois établissements de la zone sud de la société qui représentent pas moins d’un salarié d’ArianeGroup sur deux. Cette regrettable situation, que la DREETS déplore elle aussi via notamment ses trois mises en demeure, est dans la même sphère d’influence que celle du programme de prévention des risques professionnels mais pour autant n’entre pas dans la définition et le management de ce programme, d’où notre avis favorable.
PLAN DE FORMATION 2022
Avis DÉFAVORABLE unanime du CSE-C
Avis émis sur la base des conclusions du rapport de la rapporteuse de la Commission Sociale.
⇒ La CFE-CGC regrette que, malgré les améliorations apportées par rapport aux années précédentes, la commission reste non-entendue par la Direction, notamment les points suivants :
UNIFORMISATION DE L’OUTIL DE GESTION DES TEMPS
Avis FAVORABLE unanime du CSE-C
⇒ Voici la déclaration que la CFE-CGC a lue en séance :
La Direction a décidé de déployer un outil unique de gestion des temps (badgeage, pose des congés/RTT, …) pour tous les sites français de la société. Nous saluons cette démarche d’harmonisation et d’intégration qui passe par l’utilisation d’un outil commun.
L’outil proposé est connu d’une partie des salariés ArianeGroup puisqu’il est déployé depuis 5 ans sur l’ensemble des sites de l’ex-périmètre Safran-Herakles. Ceci nous permet de dire que l’outil, qui fonctionne en lien avec l’ERP SAP Hero pour le pointage des heures, ne pose pas aujourd’hui de problèmes d’utilisation particuliers sur ce périmètre et nous gageons que le Retex de cette utilisation permettra de répondre plus facilement aux questions ou potentielles difficultés de déploiement qui pourraient avoir lieu lors de son extension à tous les sites français.
Les réponses complémentaires apportées aux questions posées lors du CSE-C d’information nous rassurent quant aux fonctionnalités du logiciel qui répondent aux attentes des salariés (utilisable en nomadisme, déclaration des délégations, lien avec l’outil de pointage des heures, respect des statuts de chaque société d’origine, reprise des historiques…).
Par ailleurs, le plan de formation prévu avant son déploiement nous semble cohérent et pertinent. Pour l’ensemble de ces raisons, la CFE-CGC accueille positivement ce projet de déploiement d’un outil unique de gestion des temps.
GAÏA (Regroupement des Achats à ESM)
Rappel : les organisations syndicales avaient unanimement demandé à la Direction de faire le point de ce projet en CSE Central en complément à l’ordre du jour
La CFE-CGC a rappelé que le CSE Central n’a eu aucune information sur ce projet depuis son annonce en juillet 2021. Nous demandons que les présentations faites récemment dans les deux CSE de Saint Médard (Issac et ESM) soient aussi faites en CSE Central afin que les élus aient tous le même niveau d’information. Espérons que nous serons entendus lors du prochain CSE Central.
2022 ANNÉE AUX ENJEUX TECHNIQUES, INDUSTRIELS, COMMERCIAUX MAJEURS
LE TOUT SUR FOND D’ENJEUX SOCIAUX TOUT AUTANT MAJEURS
(STATUT SOCIAL, POUVOIR D’ACHAT, …)
Le succès du lancement du télescope James Webb (dont le coût total est 100 fois celui d’une Ariane 5 !)
est venu rappeler au reste du monde le professionnalisme des salariés d’ArianeGroup et d’Arianespace :
ils ont, là comme ailleurs (V-MAX, M, …), mené à bien cette mission sans que leur attention ne soit détournée par les vicissitudes qui ont émaillé 2021
Pour la CFE-CGC, il est temps de rappeler les grands enjeux sociaux de 2022. Ils conditionnent l’engagement et la motivation des salariés tant réclamés par la Direction pour relever les défis qui font face à ArianeGroup :
… dans le contexte où :
PRÉSERVER LE POUVOIR D’ACHAT
En signant à 1,9% en juillet dernier, avec effet rétroactif (prime) en janvier, la CFE-CGC a signé l’une des meilleures politiques salariales 2021 de notre secteur d’activité :
Malheureusement l’inflation s’est envolée depuis l’été dernier : 2,8% en 2021, les perspectives 2022 s’annoncent dans la même veine.
Dans ces conditions, les syndicats sont souvent coincés entre des salariés qui veulent une ouverture rapide des négociations pour se rassurer, des directions qui veulent conclure vite pour pouvoir rester en dessous des prévisions les plus pessimistes, et … l’expérience, qui commande de négocier en ayant la meilleure vision possible du futur.
Compte-tenu que personne ne peut sérieusement prévoir quelle sera l’inflation de 2022 :
A ceci s’ajoutent, pour l’Intéressement et la Participation, qui doivent être incitatifs :
Et, last but not least car cela touche tant au pouvoir d’achat, à la QVT au quotidien, qu’à la construction d’un statut social commun, la CFE-CGC demande d’étendre le dispositif Chèque Emploi Service Universel (CESU) dont bénéficient les salariés exSafran à tout ArianeGroup (cf. NOTA 1 en fin de newsletter).
MAITRISER LA CHARGE DE TRAVAIL ET LES RPS
Alors que de multiples secteurs (civil, défense, support, …) doivent faire face à une forte charge de travail et que les risques Psychosociaux (RPS) avérés s’y multiplient, il y a de quoi s’inquiéter lorsque la Direction indique qu’elle compte sur une accélération de la digitalisation de la société pour absorber 600 suppressions de postes en 2022 !
Toutes les organisations syndicales ont soulevé ce risque lors de la consultation du CSE Central.
Pour la CFE-CGC, ce plan de réduction des effectifs est un facteur de risque majeur pour les RPS alors que nous devons retrouver confiance en l’avenir.
Nous serons très vigilants ; nos élus en CSSCT porteront ce suivi car on ne peut pas laisser dériver une situation qui touche directement à la santé physique et mentale des salariés. D’autant plus avec l’indigence des services médicaux de plusieurs établissements de la société : valse des Médecins du travail, Dangers Graves et Imminents (DGI) en cours, mise en demeure de plusieurs établissements par l’inspection du travail, … Situation hélas consécutive à une Direction Générale qui jusqu’à présent n’entend pas ce que ses interlocuteurs (CSSCTs, Médecins du Travail, Infirmières, Inspection du Travail, …) lui disent depuis des années.
CONSTRUIRE UN STATUT SOCIAL COMMUN
La CFE-CGC veut ce statut commun depuis la création d’ArianeGroup en 2016 ; bientôt 6 ans !
Mais pas n’importe comment : nous demandons de tout mettre sur la table (cf. NOTA 2 en fin de newsletter). Nous demandons aussi que les négociateurs de la Direction disposent d’un budget.
La Direction a voulu jusqu’à présent négocier sujet par sujet (1ère erreur) sans y mettre 1€ (2ndeerreur). Pourtant le gain de masse salariale consécutif à la diminution des effectifs depuis la création de la société, accentué avec la RCC, pourrait être en partie affecté à cette négociation.
D’autre part nombreux sont les salariés à penser que leurs collègues issus des autres sociétés sont mieux traités : près de six ans après la création de la société les rancœurs, les amertumes et les différences culturelles sont tenaces. Nous le déplorons mais il suffit d’en discuter avec nos collègues pour le constater
Toutefois ces ressentis sont courants lorsque des sociétés fusionnent. Cela signifie que cette négociation doit y apporter des réponses objectives.
⇒ La CFE-CGC le dit à nouveau:
NOTA 1 : CESU : les salariés au statut exHerakles bénéficient de 1000€ maxi/an de CESU financés à 60% par ArianeGroup ; dispositif porté à 1800€ maxi/an financé à 100% par ArianeGroup pour ceux en situation de handicap ou ayant une personne en situation de handicap dans leur foyer fiscal
NOTA 2 : TOUT METTRE SUR LA TABLE : la négociation ne pourra se limiter à la rémunération de base et les différentes primes, allocations ou MPO. Il faudra par exemple définir le devenir de dispositifs qui ont un impact direct sur le pouvoir d’achat : CESU, primes médailles d’ancienneté, primes équipe, véhicules de fonction, retraite supplémentaire, valorisation du temps de déplacement en mission, indemnités de déplacements selon les horaires avion/train et les nuitées, …
2022 débute dans une actualité industrielle & sociale dense et difficile
Raison de plus pour vous souhaiter la meilleure année possible à vous et à tous ceux que vous aimez
Nos vœux de santé prennent encore cette année une signification particulière au regard de cette pandémie qui bouleverse notre quotidien depuis maintenant deux ans
BONNE ANNÉE !
Le projet GAIA a déjà fait l’objet de deux présentations en CSE-E (hors processus d’information / consultation). La dernière en date (14/12/2021) a été l’illustration parfaite du dialogue de sourds entamé par la direction avec les représentants et élus des organisations syndicales.
Dès l’annonce du projet, la CFE-CGC avait dénoncé l’incohérence métier d’un déménagement total des achats / qualité fournisseur / approvisionnements d’Issac vers Saint-Médard, au motif qu’une partie des salariés visés ont le barycentre de leurs activités à quasiment 100% sur l’établissement d’Issac. L’intersyndicale (CFDT / CFE-CGC / CGT / FO) s’est exprimée par tract et lors d’une réunion d’information syndicale avec les personnels concernés. Tous les arguments légitimes avancés à la direction sont systématiquement balayés d’un revers de main, sans aucune considération, ni pour la performance de ces métiers au sein d’ArianeGroup, ni pour les salariés, considérés pour l’heure comme des variables d’ajustement de la répartition des effectifs sur les sites girondins !
La CFE-CGC n’a jamais critiqué le rapprochement achats / qualité fournisseur en tant qu’optimisation de l’organisation, bien au contraire !
UNE RÉELLE MÉCONNAISSANCE DU TERRAIN !
En revanche, ne pas reconnaitre qu’une partie des achats Issac relève de spécificités liées à leur nature et leur intégration avec les projets / programmes constitue, pour la CFE-CGC, une faute lourde !
Oui certaines typologies d’achats peuvent trouver un intérêt à un regroupement dans l’objectif de « peser » sur nos fournisseurs et d’optimiser le fonctionnement dans l’intérêt d’ArianeGroup. Mais dans ce cas, pourquoi uniquement sur la plaque girondine ?
Non les achats d’infrastructures et de MGSE, intégrés dans les équipes multidisciplinaires tant vantées par SHIFT, ne peuvent pas être considérés comme des « commodités » à la sauce « équipementier » ! Leur valeur ajoutée réside dans le dialogue quotidien avec les prescripteurs et les équipes projets. Couper ce lien direct en délocalisant les salariés concernés revient à anéantir toute capacité d’anticipation dans les affaires concernées. La plus-value d’achats « systémier » réside dans cette intégration au quotidien !
Aussi, la CFE-CGC est atterrée face à la posture direction qui tend à nier ou ignorer la réalité du terrain, ce qui n’est pas de bon augure pour le devenir d’ArianeGroup !
UNE VISION STÉRÉOTYPÉE DES ESPACES DE TRAVAIL !
La méthode suivie pour la rénovation et le projet d’aménagement des espaces de travail sur Saint-Médard n’est en soi pas critiquable… si elle est effectivement respectée !
Ce n’est pas sans nous rappeler l’aménagement « participatif » du B14 et de nombreux autres plateaux. Quand le discours n’est pas concrétisé par des actes, et sur la base du REX B14 notamment, la confiance se perd et la défiance devient toute naturelle, sans compter les allusions répétées à des aménagements de type Dynamic Office !
Les salariés attendent donc une écoute réelle, une prise en compte sérieuse de leurs besoins. Les inciter à rentrer dans un moule serait une erreur majeure !
Exit donc les notions de dynamic office, d’open space avec les hiérarchies au milieu des équipes … Autant de structurations de l’espace de travail totalement inadaptées aux métiers de la négociation et des achats !
DU SENS « OUI », DU STRESS « NON » !
Après deux présentations spécifiques en CSE-E, le réel intérêt de ce projet pour ArianeGroup nous échappe toujours ! Tout comme sa volte-face quand, un coup les achats vont à Issac… puis finalement, sans autre explication, prennent le chemin de Saint-Médard. Ce dossier reste à la fois nébuleux et mystérieux dans ses objectifs réels.
Cette décision unilatérale, sans motivation métier concrète, contre l’avis des salariés, s’avère pour le moins clivante. Casser les réseaux internes tissés de longue date entre les différents secteurs est ressenti violemment par les premiers concernés ; détruire ce qui marche par dogmatisme ne portera pas la performance d’ArianeGroup, bien au contraire !
Cet acharnement va provoquer une fuite des personnels visés vers des mobilités, mettant ainsi en péril ce métier qui est affiché comme vital dans les gains à rechercher pour les objectifs économiques de l’entreprise. Des salariés n’ont d’ailleurs pas attendu pour trouver un nouveau poste sur Issac, ou se mettre en mobilité.
A part repeupler coûte que coûte le site de Saint-Médard, quel sens trouver à un projet faisant un demi-tour remarqué en quelques mois ?
Tout cet empressement et ce management à l’emporte-pièce s’avère de plus générateur de stress et d’inquiétude dont les salariés se seraient bien passé dans le contexte actuel. Nous recevons donc avec inquiétude les messages d’alerte que constituent les appels à la médecine du travail et les interpellations des représentants syndicaux.
N’oublions pas que lors du dernier CSE-E, le médecin du travail était présent et a signalé la venue spontanée de salariés de ces secteurs au service santé au travail pour confier leur stress et leur mal-être devant ce qui est présenté comme une décision inéluctable. Le médecin n’a d’ailleurs pas omis de signaler qu’il serait probablement amené à reparler de ce sujet si le nombre de salariés en souffrance devait encore augmenter.
ArianeGroup a été récemment mise en demeure de démontrer la protection de ses salariés vis-à-vis des RPS dans un autre dossier ; pourquoi prendre le risque d’en générer sur ce projet et faisant planer la menace d’un nouveau DGI et/ou d’une expertise libre ?
La brutalité de décision n’a jamais été un mode vertueux de management !
QUAND LE MANQUE DE TRANSPARENCE NE PEUT QU’INSPIRER LA DÉFIANCE !
Lors du dernier CSE-E des questions précises ont été posées par vos élu(e)s aux membres de l’équipe projet et à la direction. Des réponses ont certes été apportées en plénière, mais quelle déception, quand après vérification auprès des intéressés, ces réponses et affirmations se sont révélées fausses !
Quelle est donc la véritable raison qui fait que les représentants du projet sont « prêts à tout » pour le porter lors des réunions CSE-E, comme par exemple le cas de ce salarié n’exerçant aucunement dans le domaine de la qualité achats mais embarqué dans ce mouvement ; la CFE-CGC a rebouclé avec ce salarié qui a confirmé ne pas faire de qualité achat à ce jour, contrairement aux dires des intervenants en plénière.
Dans le même veine, que penser du double dialogue de certains managers qui en off sont tout à fait conscients des problématiques soulevées par les organisations syndicales et les salariés, mais qui n’hésitent pas à vanter ce déménagement lors des présentations en plénière. Peut-on parler d’un management par la terreur ?
Pour la CFE-CGC, mentir sciemment aux représentants du personnel dans l’exercice de leur mandat est un manque de respect total, tant pour les représentants que pour le personnel du site.
L’adhésion au projet ne peut donc que pâtir d’un tel mépris, et ce traitement des représentants du personnel est à l’image du dialogue social mis en place par la direction dans ArianeGroup !
Le dialogue social est une fois de plus mis à mal par la direction !
ET MAINTENANT ?
La CFDT a récemment diffusé un sondage, certes contestable par son orientation et son opportunisme politique, mais qui devrait clairement montrer un refus des salariés d’un tel projet !
Il sera de la responsabilité de l’intersyndicale CFDT / CFE-CGC / CGT / FO de porter et accompagner ces retours.
Entre gel pur et simple du projet, détourage « intelligent » des périmètres, passage en force brutal, les sorties de cette crise sont multiples, mais laisseront des traces dans le corps social de l’établissement.
La CFE-CGC avait dès les premières annonces fait preuve de proactivité et de construction en réfléchissant à un découpage métier cohérent pouvant être porté par le projet, mais force est de constater que la quasi fin de non-recevoir que constitue la présentation direction lors du dernier CSE-E plonge le projet dans une impasse totale dont la sortie semble bien compliquée et compromise.
La récente présentation direction lors du dernier CSE-E plonge le projet dans une impasse totale dont la sortie semble bien compliquée et compromise.
La CFE-CGC attend de la direction un véritable dialogue de confiance et non un dialogue de sourds de surcroit méprisant.
Nous ne pouvons que souhaiter une prise de conscience rapide de nos dirigeants et des réponses à la hauteur de l’engagement des salariés sur leur métier et pour leur entreprise !
Ce début d’année 2022 s’annonce chargé en actualités, tant sociales que sanitaires.
L’équipe CFE-CGC Issac / Crozon / Biscarrosse est plus que jamais présente à vos côtés et vous souhaite la meilleure année possible à vous et vos proches.
BONNE ANNEE !