Veuillez trouver les Réclamations Individuelles et Collectives présentées en Décembre 2021 par vos élus et représentants CFE-CGC. (Cliquez sur l’image)
L’accord de Rupture Conventionnelle Collective (RCC) ArianeGroup a été validé par l’inspection du travail.
L’accord signé par CFE-CGC, CFDT et FO est applicable. La Direction devrait déployer un plan de communication dans les prochains jours ou, plus probablement, début janvier 2022.
Vos représentants CFE-CGC ArianeGroup sont disponibles pour vous informer sur les dispositifs que cet accord contient ; de même, nous sommes et serons très vigilants quant à l’acceptabilité de la charge de travail de tous les salariés qui n’entreront pas dans ce dispositif (RPS notamment).
Cette fin d’année est marquée par la décision de la Direction de diminuer sensiblement les effectifs en 2022, ainsi que la signature d’un accord RCC (dont nous nous serions bien passés) en accompagnement des salariés volontaires au départ
2021 s’achève aussi avec des annonces positives et plus particulièrement pour certains sites ArianeGroup.
Ainsi, tant sur les périmètres Civil que Militaire, pour Vernon comme le CRB, l’horizon s’éclaircit ; il faut maintenant transformer l’essai.
VERNON
Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, et Sébastien Lecornu, Ministre des Outre-Mer, sont venus lundi 6 décembre sur le site de Vernon faire plusieurs annonces : elles concernent le site de Vernon, ArianeGroup, et plus largement l’ensemble du secteur spatial Européen.
Dans un discours très volontariste (en lien avec l’agenda 2022?), le Ministre de l’Economie a réaffirmé le soutien des pouvoirs publics au spatial et notamment au site de Vernon grâce à des investissements destinés à y pérenniser des activités :
Bien que cela donne de la visibilité sur la production Ariane 6 à venir, la CFE-CGC regrette que cela se fasse au détriment des équipes œuvrant sur le moteur Vinci et des salariés qui se sont investis de nombreuses années sur ce moteur, la partie Assemblage-Intégration-Tests (AIT) de ce moteur devant être transférée vers l’Allemagne.
D’autre part, un accord franco-italien a été récemment trouvé : il comprend le rapatriement de la Turbo Pompe Oxygène (TPO) Vulcain sur le site de Vernon. La CFE-CGC espère que tout sera mis en œuvre en terme de ressources humaines et moyens de production afin d’assurer ce transfert et la production dans les meilleurs conditions possibles, tant sur les plans technique et qualité que sur celui des ressources humaines.
CRÉATION DE « Maïa Space »
Une des autres grandes annonces est la création de Maïa Space, filiale d’ArianeGroup Holding. Maïa Space aura pour mission de réaliser un mini lanceur réutilisable français en se basant sur les technologies développées notamment dans le cadre de Prometheus/Themis. L’objectif, très ambitieux selon nous, est de parvenir à un premier vol dès 2026.
La CFE-CGC se félicite de cette prise de conscience sur le fait qu’il est grand temps d’être novateur ou du moins ne pas rester à la traine en proposant des produits complémentaires à Ariane 6. Ce n’est pas en se reposant sur une position d’ex-leader du marché spatial commercial que nous continuerons à exister.
En outre, ce n’est pas en opposant « NewSpace » et « OldSpace » que nous retrouverons notre leadership, mais en travaillant ensemble autour de cet ADN d’innovation et de prise de risque.
La CFE-CGC s’interroge toutefois sur le fait que le soutien de l’Etat français conduise de facto à une mise en concurrence entre entreprises. Si ce dispositif peut se montrer stimulant comme l’a souligné le Ministre, la CFE-CGC craint l’apparition d’une lutte entre les intervenants français pour capter les budgets, et son corollaire : lerisque fort d’une dispersion contre-productive des moyens.
Notons aussi la signature d’un accord Hypérion entre ArianeGroup et nos maisons-mères Safran et Airbuspour le développement des activités de propulsion hydrogène. La CFE-CGC considère que cet axe peut être un réel levier de développement de l’activité de Vernon.
DES MESURES QUI DOIVENT ÊTRE CONCRÉTISÉS
L’ensemble des mesures annoncées conduirait, selon les propos du Ministre, à environ 950 personnes sur Vernon. La CFE-CGC reste cependant très prudente sur cette annonce : concerne-t-elle le bassin d’emploi Vernonnais ? Le nombre de salariés ArianeGroup ? …
Pour la CFE-CGC, tout ce qui permet d’assurer la pérennité du site Vernonnais et plus largement d’ArianeGroup est bien évidemment une bonne nouvelle ! Le travail coordonné des organisations syndicales ainsi que la mobilisation des salariés de Vernon ont permis de faire comprendre à la Direction et aux Pouvoir Publics que l’inquiétude sociale est bien réelle et qu’il fallait une réponse forte.
Les annonces qui ont été faites amèneront de la charge ainsi que du recrutement à Vernon. Cependant et bien que la CFE-CGC estime que l’horizon semble se dégager, nous devons continuer à être vigilants et nous assurer de la concrétisation de l’ensemble des mesures annoncées (en dehors de celle concernant le transfert Vinci, cela va de soi !).
BONNE NOUVELLE POUR LE CRB
La signature de l’accord avec Eurenco et Roxel début novembre est passée relativement inaperçue dans le flot de l’actualité sociale. Et pourtant …
Cet accord a été négocié sous l’égide de la DGA. Il confirme le rôle central du CRB pour les activités de recherche qu’il mène actuellement, et met en place un dispositif de pilotage en commun des travaux faits au CRB pour le compte des 3 sociétés ArianeGroup, Eurenco et Roxel.
Cet accord sécurise l’activité du CRB alors que les effectifs y ont fondu ces dernières années. La CFE-CGC s’en félicite car nos collègues disposent de toute l’expertise et de l’énergie nécessaires pour maintenir le CRB au plus haut niveau dans ce domaine des matériaux énergétiques, et plus particulièrement le maintien de notre avance technologique pour la propulsion à propergol solide tant Civile que Militaire.
La CFE-CGC sera, là comme ailleurs, vigilante sur le déploiement de cet accord, et plus particulièrement quant à la mise en place des ressources humaines pour l’honorer.
Nous avons consulté nos adhérents et ils se sont exprimés en faveur de l’accord
« Rupture Conventionnelle Collective » tel que nous l’avons négocié.
La CFE-CGC a suivi leur avis et a signé l’accord proposé.
La CFE-CGC signe cet accord car :
⇒ L’absence d’accord aurait été sans impact sur le plan d’adaptation des effectifs décidé par la Direction ; en revanche les dispositions d’aide aux départs auraient été moins incitatives pour les salariés souhaitant quitter la société.
Les salariés concernés par ce plan d’adaptation des effectifs
mesureront l’intérêt des dispositions de cet accord
à l’aune de leur situation personnelle, et décideront – ou pas – de s’y inscrire
⇒ La période à venir s’annonce tendue en termes de gestion des ressources humaines avec, le retour d’expérience des RCC des autres sociétés le confirme, le nœud gordien des « critères d’éligibilité » et des « substitutions » : les managers et les HRBP vont être fortement sollicités.
NE PAS CONFONDRE…« Accord RCC » et « Plan d’adaptation des effectifs »
Le dialogue social de cet automne fut monopolisé par la double séquence inédite suivante :
La signature de l’accord RCC ne signifie en aucun cas
approbation du plan d’adaptation des effectifs
D’ailleurs la CFE-CGC s’est prononcée contre ce plan
tant dans les CSE Etablissements qu’en CSE Central
(cf. newsletter CFE-CGC du 6 décembre)
QUELQUES COMMENTAIRES DE NOS ADHÉRENTS
Sans surprise, les élus du CSE Central viennent de rendre un avis négatif à l’unanimité
sur le plan d’adaptation des effectifs qui va conduire aux 527 suppressions d’emploi en France en 2022
Voici des extraits de la position CFE-CGC que nous y avons présentée.
Le contexte est ce qu’il est, que cela nous plaise ou non
La CFE-CGC partage le constat établit sur la situation de la société. Qui pourrait le contester ?
Cette réduction des effectifs a pour objectif essentiel de stabiliser notre taux horaire qui, si rien n’est fait, augmentera mécaniquement sur tous les programmes.
Mais une question majeure reste ouverte :
Des ambitions légitimes, mais sont-elles réalistes pour autant ?
Circonstance aggravante, cet effort conséquent de réduction d’environ 10% des effectifs est intimement lié à la réussite de plans d’améliorations et de transformation : outils informatiques, synergies, …
Quelle crédibilité pouvons-nous accorder à ce projet ?
Les autres leviers d’améliorations sont autant de mots cent fois entendus et qui, répétés lors de chaque réorganisation (« synergies », « gains d’efficacité », « rationalisation », « optimisation/simplification », « efficience opérationnelle », …) sont aujourd’hui vidés de leur sens.
Les leviers de compétitivité seront-ils suffisamment efficaces ? Quelle crédibilité leur accorder aujourd’hui ?
Une grande partie des hypothèses retenues pour identifier les baisses d’effectifs peuvent donc être soumises à caution. Ceci inquiète d’autant plus la CFE-CGC que les salariés de tous les établissements nous interpellent sur ce point avec insistance.
⇒ La plus grosse part des gains à réaliser d’ici à 2025 sera à faire avec nos sous-traitants et également par des optimisations des heures de production internes sans parler d’une courbe d’apprentissage qui va devoir être exemplaire.
L’impact pour ArianeGroup et ses salariés
La CFE-CGC pense que OUI nous pouvons adapter nos façons de faire pour entrer dans le monde des lanceurs civils d’aujourd’hui, ceci impliquant néanmoins d’accepter un taux admissible d’échec supérieur à A5. Toutefois, il nous semble que ce sera au risque d’un clivage avec le militaire pour lequel le taux d’échec admissible est nul !
Cette dualité et ce qu’elle implique est une question que porte la CFE-CGC depuis des mois : peut-on demander à tous les secteurs de faire les mêmes efforts sans remette en cause certaines exigences des programmes ?
Nous craignons également que les actions visant à améliorer à court et moyen termes la santé économique d’ArianeGroup
affectent notre capacité à terminer le développement d’Ariane 6 et à la faire voler, dans les temps et avec succès.
Risque majeur pour les salariés qui vont rester
Durant cette période critique jusqu’au 1er vol A6, la Direction ne nous a pas rassurés concernant la charge de travail. La CFE-CGC est convaincue que certains des salariés qui resteront vont encaisser une partie de la charge de travail précédemment réalisée par leurs collègues partis ⇒ les Risques Psycho Sociaux sont forts, sinon très forts voire déjà avérés !
Pour ces salariés, dont certains sont déjà exténués et parfois en recherche de sens voire de motivation, un risque majeur existe !
Compétences
Le plan de départ proposé veut préserver les compétences de la société en préservant les personnes qui ont ces compétences ou expertises rares et des talents reconnus comme indispensables à la société. Sur ce point la Direction semble avoir entendu les craintes des représentants du personnel quant au maintien des compétences nécessaires à la maîtrise de nos activités.
Il est néanmoins déjà affiché une baisse de 500 ETP en 2023, mais nous n’avons aucune visibilité quant à la façon dont la Direction compte mener cette nouvelle diminution d’effectif. Compte-elle reproduire la même méthode qu’en 2022 ?
Il est vrai que, entre les incertitudes de vol 1, de la méga constellation, ou par exemple de la ministérielle de fin 2022,
nos dirigeants peuvent difficilement afficher aujourd’hui des prévisions fiables au-delà des douze prochains mois…
Le chemin étroit entre compétitivité et réussite d’A6 vol 1
La CFE-CGC le dit sans détour, si nous dérapons c’est l’échec assuré.
Après 2022 tout est envisageable, le meilleur comme le pire
Aux demandes de visibilité post 2022 formulées par les élus la Direction n’a pas donné de réponse claire. Il est d’ores et déjà affiché une baisse de 500 ETP en 2023, mais nous n’avons aucune visibilité sur la façon dont elle compte mener cette nouvelle diminution d’effectif.
Compte-elle reproduire la même méthode qu’en 2022 ? Il est vrai que l’année 2022 comporte différentes inconnues, tenue du planning A6, réussite du Vol 1, nouveaux contrats commerciaux ou pas (Méga constellation…), ministérielle 2022.
L’équation ne sera résolue qu’après levée de ces inconnues et nos dirigeants peuvent difficilement afficher aujourd’hui des prévisions fiables au-delà des douze prochains mois.
Un objectif de baisse d’effectif excessivement ambitieux
Par ailleurs, toutes les annonces de réduction des coûts comprennent, de notre point de vue, une bonne dose d’affichage politique vis à vis des instances politiques France, ESA, Bruxelles, …
Dans ce contexte, nous sommes convaincus que toute l’attention de nos collègues doit rester centrée sur nos enjeux industriels et commerciaux tant sur M que A, là est la priorité de l’action syndicale des femmes et des hommes qui font la CFE-CGC ArianeGroup.
C’est pour l’ensemble de ces raisons que la CFE-CGC émet un avis DÉFAVORABLE à ce projet de réduction des effectifs.
La Direction a décidé de supprimer 527 postes de travail en France, et 63 en Allemagne, d’ici un an, pour réduire ses coûts de structure.
Les CSE ont été consultés vendredi 26 novembre et ont tous rendu un avis DÉFAVORABLE à ce plan d’adaptation des effectifs, le CSE Central sera consulté le 6 décembre.
Parallèlement, la négociation d’un ensemble de mesures d’accompagnement
Chaque syndicat est désormais amené à se positionner sur la signature ou non de cet accord avant le 8 décembre à 12h. La CFE-CGC organise sa démocratie au moyen de débats afin que chacun de ses adhérents se forge son opinion pour ensuite se positionner.
UNE PREMIERE POUR TOUS LES SYNDICATS
Cette négociation s’est déroulée, tout au long de ses 7 séances, avec une cohésion des organisations syndicales rarement observée jusqu’alors.
Il est vrai que la CFE-CGC eut dès le début pour principe d’échanger avec les organisations syndicales qui étaient elles aussi dans cette négociation. Ainsi et par respect pour cette séquence durant laquelle nous avons agi en interdépendance, la CFE-CGC considère que toutes les dispositions de l’accord sont le fruit d’un travail collectif important. Dire l’inverse serait nier l’
Une telle coordination fut d’autant plus nécessaire que cette négociation, dont nous nous serions bien passés puisqu’il s’agissait de négocier des dispositifs incitant des salariés à quitter la société, était une première pour tous les négociateurs.
Les organisations syndicales qui ont négocié ont fait un travail permanent, chacune avec son ADN, pour convaincre et progresser.
AUCUN LICENCIEMENT !
Aucun salarié, que son poste de travail soit supprimé ou pas, ne sera contraint de quitter la société en 2022.
Tous les départs en RCC se feront au double volontariat : salarié et
Par ailleurs, aucun licenciement pour motif économique ne pourra être réalisé en 2022.
QUI EST ELIGIBLE À LA RCC ?
Ce n’est pas un accord « open bar », des limites sont mises en place
pour limiter le risque de pertes de compétences.
L’accord comprend ainsi plusieurs exclusions, notamment celles relatives à la maîtrise des compétences
au sein d’ArianeGroup ; qui pourrait s’y opposer ?
DES RISQUES FORTS
Un tel dispositif comprend néanmoins des risques forts, régulièrement rencontrés dans les RCC d’autres entreprises. Exemples :
Des mesures en diminution de risques ont été proposées, négociées et obtenues : commission de recours pour les départs, « parachute » en cas de rupture de la période d’essai par le nouvel employeur, soutien des managers de projets et hiérarchiques, vigilance renforcée sur les RPS, suivi régulier par les organisations syndicales et le CSE Central, …
Si l’accord est déployé, la CFE-CGC sera très vigilante sur les RPS des salariés qui restent et sur la capacité des HRBP et des managers (de projets et hiérarchiques) à encaisser la somme des dossiers à traiter.
Nous ne doutons que la Direction Générale aura la volonté de respecter les différents points de cet accord, notamment ceux concernant les salariés qui vont rester. Cependant, la CFE-CGC se demande si ses équipes en auront les moyens.
LES DISPOSITIFS D’AIDE AUX DÉPARTS ET LES VOLUMES VISÉS
L’accord mis à signature contient une dizaine de mesures incitant les salariés concernés à quitter la société ; il est censé répondre à autant de situations personnelles.

Ces volumes pourront être réévalués sous certaines conditions en cours de déploiement de la RCC, sans pour autant que le plafond de 527 suppressions de postes ne soit dépassé.
ET MAINTENANT ?
La CFE-CGC organise des débats avec ses adhérents afin que chacun se forge sa conviction ; puis nous les consulterons et in fine ce seront eux qui nous donneront la décision à suivre.
Nous vous tiendrons informés le moment venu de la position CFE-CGC sur cet accord.
Si vous avez des questions, des demandes, des commentaires, des inquiétudes, … n’hésitez pas à solliciter vos collègues CFE-CGC, nous vous répondrons !
Si l’accord était signé par une majorité des Organisations Syndicales Représentatives, il serait transmis à la DRIEETS (Inspection du travail) qui disposerait de 15 jours pour se prononcer sur sa validité, c’est-à-dire aux alentours de Noël ; ce n’est qu’à l’issue de cette validation que l’accord pourrait être déployé dans ArianeGroup.
La CFE-CGC a obtenu de nouvelles avancées, notamment pour le Dispositif De Cessation Anticipée d’Activité (DCAA) via notamment l’amélioration de l’allocation mensuelle et de l’indemnité de rupture, ou encore la possibilité de cotiser à la retraite à taux plein (processus idem temps partiel ArianeGroup).
La CFE-CGC retrouve certaines de ses revendications dans le contexte où cet accord concerne par principe les salariés dont le poste de travail est supprimé, et par exception ceux volontaires par substitution.
La CFE-CGC a obtenu que les managers (d’équipes comme de projet) soient au cœur des arbitrages qui seront pris concernant les demandes de départ.
L’accord nous sera prochainement transmis pour signature jusqu’au 9 décembre. Cela va nous laissera le temps d’analyser le texte et d’en débattre avec les adhérents CFE-CGC qui nous donneront leur décision.
Nous identifions à ce stade deux points difficiles :
Vous avez jusqu’au jeudi 25 novembre 14h pour voter !
Connectez-vous sur : https://airbuselectionsesoppeg.alphavote.com
Munissez-vous de l’identifiant reçu par mail d’Alphavote le 16/11 sur l’adresse mail que vous avez indiqué dans votre espace Amundi (vérifiez vos Spam).
Nos ambitions pour les six années de mandature à venir :
L’actionnariat salarié est un levier de partage de la valeur créée par l’entreprise.
Avec la sortie de crise il est important que l’actionnariat salarié progresse chez Airbus afin d’associer plus fortement les salariés à la croissance future des profits du groupe.
Nos propositions :